Lucill continue de dévoiler son nouvel univers au compte-gouttes avec Dimanche matin, un hymne à l’amour inébranlable. Du même coup, il annonce enfin la venue de son troisième album cet automne.
Dimanche matin célèbre la rencontre inattendue et la force des liens qui en découlent. À travers des images de moments partagés bien montréalais, comme éviter la pluie au Cinéma Moderne ou encore errer au Parc La Fontaine, l’artiste évoque une union qui grandit dans la complicité et la découverte. Le refrain, affirmatif, insiste sur l’idée de ne jamais se quitter. La chanson souligne aussi le parcours commun et la guérison des cœurs blessés. En fin de compte, c’est une déclaration passionnée, célébrant la chance de se retrouver et de se donner le droit d’enfin s’appartenir.
On est partis comme de rien
Un dimanche matin
Je l’ai prise et j’ai su
Que j’pourrais plus jamais lâcher ta main
L’instrumentation aux accents folk, encore bien axée sur les guitares de Lucill, se veut rêveuse et lumineuse. Le tout a été enregistré au studio de Lucill en plus de quelques sessions au Studio Verville à Montréal. Sur la chanson, l’artiste s’est entouré de Gabriel Lapointe qui complète avec brio la section rythmique (batterie et percussions). Pascal Shefteshy assure encore une fois le mixage et matriçage. La chanson à été co-écrite avec sa comparse Zoe Sanders.
À PROPOS
Autodidacte natif de Chibougamau, Lucill (Raphaël Bussières) tapisse son univers musical d’indie, de pop et de rock alternatif qui se défragmente en touches folk. De sa voix posée, il présente des pièces sans détour qui dépeignent une réalité non polie, le tout sur trame inclusive.
Dès son tout jeune âge, Raphaël apprend assidûment la basse qui deviendra vite son instrument principal. Après plusieurs années à former et accompagner des groupes et artistes un peu partout à travers le monde, il décide de se lancer dans le vide et de proposer au public son projet le plus personnel à ce jour.